Les chutes d’Iguazu, une étape incontournable en Argentine
– Août 2023 –
Après quelques jours à visiter Salta et sa région, nous avons mis le cap sur un des endroits les plus fabuleux de l’Argentine : les chutes d’Iguazu. Situées aux confluents des fleuves Iguazu et Parana elles sont à cheval sur 3 pays, le Brésil, l’Uruguay voisins et l’Argentine. Nous avons visité la partie argentine des chutes, là où elle sont les plus étendues. Et là ce fut carrément magique ! Pas moins de 275 chutes se déversent dans la rivière Iguazu. Un spectacle rare !
Assurément un des plus beaux site d’Agentine, en tout cas un des plus beaux souvenirs de notre aventure en Argentine. Le parc national d’Iguazu a été classé au patrimoine naturel de l’Humanité en 1984 par l’UNESCO. On y accède à partir de la ville de Puerto Iguazu à 13,5km de là. Toutes demi-heures un bus de ville amène les passagers jusqu’à l’entrée payante du parc. 13,5 km à travers la jungle dans laquelle vivent des léopards. Arrivés à destination, on est frappé par la qualité de l’aménagement. Tout est prévu pou accueillir les visiteurs dans les meilleures conditions possibles et les amener jusqu’aux chutes.
A pieds ou avec un un petit train, on accède aux différents endroits à partir desquels on observe le spectacle sublime de la nature. Le circuit supérieur par exemple permet d’admirer les chutes d’en haut. A partir des passerelles et des bélvédères installés sur le parcours on a un superbe panorama d’ensemble. Le clou du spectacle c’est la garganta del diablo, une chute impressionnante. Sur une largeur de 150 mètre des milliers de m3 d’eau se jette dans un fracas assourdissant 80 m. plus bas dans la rivière.
Les nombreux sentiers et passerelles qui pénètrent dans la forêt permettent de s’approcher au plus près des chutes. Lors de cette balade d’approche, on peut apercevoir des singes, des coatis, des perroquets, des toucans. Plus de 2000 espèces végétales, sont répertoriées dans le parc ainsi que 450 espèces d’oiseaux. parmi les mammifères, des jaguars (on n’en a pas vu). Moins farouches, les coatis à l’affût de la nourriture qui traîne dans les sacs des visiteurs.
