PONDICHÉRY est un ancien comptoir français redevenu indien en 1956. La présence française y est encore très marquée notamment dans la partie de la ville qui se trouve aux bords de la mer. Les noms de certaines rues sont encore écrites en français comme la rue Dumas, la rue de la marine…. Hormis le nom des rues du centre-ville, les habitants de Pondichéry, pour certains d’entre eux, parlent français et le café des arts est un endroit qu’ils fréquentent volontiers.

 

Après le bruit et le tumulte de Chennaï et avant Maduraï c’est un véritable havre de tranquillité, une ville agréable où il fait bon flâner entre deux visites.

 

                                                                                                                                                                                                                                                      

 

 

 

 

 

img_7228Au Sunday market de Pondichéry   

 

img_7278intérieur d'un hôtel à pondichéry

 

 

 

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Un temple au milieu du marché

 

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Au café des arts, dans la ville française, il y a ce rickshaw en exposition. Il n’y en a plus guère en circulation. Quelques indiens, sous un soleil de plomb et en pleine chaleur, baladaient encore cet après midi des touristes « nostalgiques » de ce tricycle à propulsion humaine !

 

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camion à Pondichéry

 

La queue devant la banque 

 

Imaginez que le gouvernement français décrète subitement que les billets de 10€ et de 20€ sont inutilisables et que vous avez quelques jours pour les changer contre de nouveaux billets ! En France, le problème serait pour le moins surprenant mais gérable dans la mesure où nous n’avons pas chez nous ou dans nos poches des liasses de billets de 10 et de 20 €. En Inde non seulement le gouvernement à décrété que les billets de 500 et de 1000 roupies était périmés mais ce sont des millions de gens qui, à cause du marché noir, ont des sacs de billets de 500 et de mille chez eux pour les utiliser dans la vie quotidienne. Pour en finir (c’est ce que pense le gouvernement )  avec cet argent « mal acquis » il a tout simplement décidé de récupérer les dites coupures, de demander sa provenance et en échange de remettre l’équivalent en nouveaux billets ou en billets de 100 et de 50 roupies ! Nous avions changé très officiellement des euros à notre arrivée à Chennai avant cette décision ubuesque et nous avons du faire la queue devant une banque pour échanger ces billets périmés contre l’équivalent en coupure de 100 roupies !

 

Depuis 3 jours les banques sont prises d’assaut !

 

Brigitte, un formulaire à la main sur lequel nous devons déclarer nos billets de 1000 et de 500 roupies, fournir le numéro de notre passeport, et la photocopie de sa première page, du visa…. attend son tour avec le sourire bien sûr !

 

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